•  Les accidents domestiques La première cause de mortalité chez les jeunes enfants est due aux accidents domestiques. Une seconde d'inattention et les conséquences sont dramatiques (chutes, choc, brûlures, empoisonnements, noyades, étouffements...) Des chiffres alarmants Au total : 20.000 morts par an. 80% pourraient être évités. 400.000 brûlures par accidents domestiques par an. 600.000 morsures de chien par an. 250 morts par défenestration pour les enfants de 10 mois à 7 ans par an. 2.000.000 de chutes chez les + de 65 ans, ce qui représente 10.000 morts par an. 100 morts par an dus aux noyades (baignoire et piscine). Comment les éviter? Les lieux où surviennent les accidents : L'apprentissage des dangers à la maison est un long chemin pour l'enfant, il requiert une attention de tous les instants. Des précautions simples s'imposent à tous les parents pour éviter ces accidents.

    2 commentaires
  •  une main blanche une main noire une main d'ange une main desespoir une main aimee une main detestee une main adoree une main repoussee pourquoi tant de haine? tant d'egoisme? pourquoi pas de paix, d'amitie? pourquoi pas d'amour? pourquoi qu'un mot? un mot mechant un mot pas gai a entendre RACISME la main blanche la main noire la main blannoir ensemble sont heureux pour la vie toute reunie!!!!!! By http://destipoeme005.skyblog.com

    votre commentaire
  •  Les Romains n'infligèrent jamais la torture qu' aux esclaves, mais les esclaves n'étaient pas comptés pour des hommes. Il n'y a pas d'apparence (1) non plus qu'un conseiller de la Tournelle (2) regarde comme un de ses semblables un homme qu'on lui amène hâve, pâle, défait, les yeux mornes, la barbe longue et sale, couvert de la vermine dont il a été rongé dans un cachot. Il se donne le plaisir de l'appliquer à la grande et à la petite torture, en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi on recommence ; et comme dit très bien la comédie des Plaideurs : "Cela fait toujours passer une heure ou deux". Le grave magistrat qui a acheté pour quelque argent (3) le droit de faire ces expériences sur son prochain va conter à dîner à sa femme ce qui s'est passé le matin. La première fois, madame en a été révoltée ; à la seconde, elle y a pris goût, parce qu'après tout les femmes sont curieuses ; ensuite, la première chose qu'elle lui dit lorsqu'il rentre en robe chez lui : « Mon petit coeur, n' avez-vous fait donner aujourd'hui la question à personne ? » Les Français, qui passent, je ne sais pourquoi, pour un peuple fort humain, s'étonnent que les Anglais, qui ont eu l'inhumanité de nous prendre tout le Canada, aient renoncé au plaisir de donner la question. Lorsque le chevalier de La Barre, petit-fils d'un lieutenant général des armées, jeune homme de beaucoup d'esprit et d'une grande espérance, mais ayant toute l'étourderie d'une jeunesse effrénée, fut convaincu (4) d'avoir chanté des chansons impies, et même d'avoir passé devant une procession de capucins sans avoir ôté son chapeau, les juges d'Abbeville, gens comparables aux sénateurs romains, ordonnèrent, non seulement qu'on lui arrachât la langue, qu'on lui coupât la main, et qu'on brûlât son corps à petit feu ; mais ils l'appliquèrent encore à la torture pour savoir combien de chansons il avait chantées, et combien de processions il avait vues passer, le chapeau sur la tête. Ce n'est pas dans le XIII° ou dans le XIV° siècle que cette aventure est arrivée, c'est dans le XVIII°. Les nations étrangères jugent de la France par les spectacles, par les romans, par les jolis vers, par les filles d'Opéra, qui ont les moeurs fort douces, par nos danseurs d'Opéra, qui ont de la grâce, par Mlle Clairon, qui déclame des vers à ravir. Elles ne savent pas qu'il n'y a point au fond de nation plus cruelle que la française.

    Voltaire


    votre commentaire
  •    C'est l'histoire d'une tragédie. La tragique histoire de centaines d'adolescents comme je le suis, Insouciants, souriants à la vie. Du jour au lendemain, pas par la force du destin, Leurs vies ont basculé, leur enfance anéantie. Ils ont été choisis, sacrifiés, par pure folie. Enlevés à leurs parents, leur famille, leurs amis, alors qu'ils allaient gaiement sur le chemin de l'école... Arrachés à leurs proches, ils combattent pour une cause indigne, meurent sur un champ de bataille, Et vous ne réagissez pas ? A quoi aspiraient-ils ces enfants ? Au bonheur tout simplement. Mais qui sont ces gens-là ? Pour les exploiter comme cela ? Mais faites quelque chose ! Ne restez pas les bras croisés devant votre télé ! Notre monde déraille, Tout le monde trouve cela banal ! Mais cette tragédie est d'actualité, Elle se passe dans l'est du Sri Lanka. Des centaines d'enfants meurent à chaque instant, Il ne faut pas rester là, les bras croisés !

    .....Jeanne Thérèse

    ....voilà un poème qui donne à réfléchir.....


    votre commentaire